En live presque, voici le récit de voyage de quatre voyageurs en route pour Ushuaïa en novembre 2016, un voyage sur-mesure en Argentine fait que pour eux, merci!
PÉRIPLE ARGENTIN: épisode 2
Jour 5 mercredi 19 oct Vol vers Salta ou BA
Cool un aéroport à 15 mn de l’hôtel!
Avons quitté Iguazu sans avoir vu l’ombre d’un moustique…
Une seule porte d’embarquement pour plusieurs vols. on comprend mieux quand on sait que Salta est une escale du vol de Cordoba…☺
Arrivée à Salta : guide bouchée…On a regretté Ivette… installation à l’hôtel charmant del antiguo convento… très bien situé avec ses patios, un salon, un jardin avec piscine… Même pas vue…la piscine
Literie parfaite, propreté remarquable. accueil efficace. Laverie locale fiable.
Empanadas recommandés par le guide Lonely Planet. Excellent, faits à la demande.
Visite de la belle Salta. Quelques beaux bâtiments coloniaux, 1 église, 1 cathédrale charmantes, une manifestation contre les feminicides et les violences de genre.
A ne pas manquer le musée ethnographique près de la gare. Bien plus riche que le MAAM vanté.
Diné d’une soupe de légumes et de salade verte à 100gr de l’hôtel.
Jour 6 jeudi 20 octobre Salta
El tren de las nubes
Lever 5h départ 6h15.
Paysages merveilleux pendant 2 fois 4 heures de bus + 2 fois 20mn de train pour voir un pauvre viaduc. Emouvant la levée des couleurs et les touristes argentins y compris les enfants des écoles chanter avec ferveur l’hymne national.
Retour à St antonio de cobres, cité désolée en proie aux poussières minérales… Ouf nous n’y dormons pas…
Déjeuner dans une cantine locale. Du lama milanese… bof bof. Mais des légumes et des papas (patates) à tomber…
Je me suis confectionné des chewing gums à base de hollywood et de feuilles de coca..
Peut être ai-je ainsi moins souffert du mal des montagnes. vagues nausétés, vagues migraines… Pour ce circuit, il est rassurant d’être escortés par un médecin et une bonbonne d’oxygène et être bien calés dans un bus dans son lequel on peut somnoler…
Retour tout aussi magnifique.
Arrêts bien pensés tout au long de la journée… Bravo
Retour sous la pluie. Très bon dîner vegan.
Renoncé à la soirée empanadas et musique andine… dodo
Jour 7 vendredi 21 octobre
Salta -Purmamarca
Difficile de trouver la Ruta 9 : vers le Nord elle se confond avec … le périphérique … Il serait bon que les guides le mentionnenr.
Bon! Route de la corniche : forêts, forêts et lacs. Magnifique !!
San Salvador de Jujuy (prononcer “rourouille”)
Comme Salta, ville décevante… bonnes étapes dans plus.
Route des vallées : inévitable mais sans grand intérêt. Arrivée à Purmamarca : village andin/indien qui se dévoile peu à peu.
Hôtel ne payant pas de mine. mais très propre, confortable au décor simple et matériaux de qualité
Balade des siete colorados faite au coucher du soleil… A faire demain matin…. autres couleurs… là on attend les pollos (prononcer pochos) à la plancha en buvant un vin rouge Malbec de cayafate (1800m) à tomber!!
Bonne nuit!!
Episode 2
Jour 8 – samedi 22 octobre Purmamarca
Quebrada de Humahuaca
Des paysages somptueux toujours, dont on ne lasse pas.
Succession de villages en adobe (sorte de pisé) pourvus d’une église pimpante en bois de cactus blanchi à la chaux et rehaussé de pienture ocre. Quelque soit églises rose bonbon.
Poussière, lumière et couleurs. Un peu d’élevage (lamas essentiellement). cultures maraîcheres et vente aux touristes)
À Purmamarca privilégier là boutique Arte Nativo : artisanat de qualité, association structurée de soutien à l’artisanat.
Spectacle : voir les femmes indienne arriver ou repartir avec leurs sacs “Tati”, qui ont remplacé les paniers d’osier traditionnels, déplier leur marchandise en un tour de main…
Une station d’essence.
Éviter le temple précolombien de Tilcara : Attrape touristes…
Ne manquer sous aucun prétexte les 14 couleurs du mirador del Hornocal.
Souffrons du mal des montagnes et pour certains de tourista.
La pharmacie fournitu aussi des cachets miracles contre les entorses. Sans ordonnance…
Zappé le dîner.
Jour 9 – Dimanche 23 octobre Purmamarca
Las Grandas Salinas
Très bonne route menant à St antonio ?du Chili.
Beaucoup de lacets, de virages en épingle a cheveux et de photos.
La R52 en lacets. La puna, les hauts plateaux. Magique toujours.
Ne pas manquer la visite guidée des salines et la halte en lisière de l’exploitation. 135 ouvriers travaillent à la coopérative sans compter ceux des entreprises privées.
Sur la R52 une trentaine de motards fait escale sur leur route Argentine, Chili, Bolivie, Colombie…
Poussé jusqu’à Susques. Maisons éparses, poussière, jolie église en bois de cactus, blanchie à la chaux, rehaussée de jaune ocre. fermée. Torpeur du dimanche après-midi. Sur la run principale où une maigre allée d’acacias lutte vaillamment contre la poussière et l’aridité. Une fille se fait peloter dans un coin en riant. Des maisons, un son étouffé : le son des télévisions où sévit sans doute le Drucker local… Il fait chaud.
Et les indiens tout en lenteur, calme et sourire.
Sur la R52 pas mal de camions descendent du Chili. Retour par la même route. Autres points de vue.
Dîner de poulet grillé et de riz blanc acquis de haute lutte : ces plats thérapeutiques n’étant sont ni au menu ni dans les process.
Jour 10 – lundi 24 octobre Purmamarca – Salta
Pas de chauffage cette nuit…Le linge n’a pas séché.. Il séchera dans la voiture.
La promenade des 7 couleurs le matin magique toujours avec plus de contrastes.
Route pour Salta Toujours aussi morne et humide. 34*C. déjeuner dodo dîner.. Primaire.
Jour 11 – mardi 25 octobre Salta – Cafayate
Par les R33 et R40 360 kms, 80% de piste.
(188 kms par la R68 goudronnée).
Pampa d’altitude, la lande à végétation rase.
Changement de décor : des milliers de cactus, souvent superbes et en fleurs, des centaines de virages, altitudes entre 2000 et 3360m.
Ne pas manquer la verte Valle Encantado.. Sans surestimer sa conditions physique.
CACHI, ville de caractère belle et harmonieuse. Dommage que nous n’y ayons pas dormi. vraiment. Eglise avec retable baroque naïf. charmant. Et la vie dans les touristes : seuls deux étals et une boutique discrète.
Habitat et élevage dispersés… paysages lunaires, vallées soigneusement cultivées, spectaculaires lits de rios asséchés.
Écoles numérotées 4423 etc. Souvent à peine une dizaine d’enfants dans la cour de récréation.
La quebrada de Las Flechas. Tourmentée. A l’horizon la quebrada de Las Conchas. Rouge.
Descente vers la plaine, des chevaux, quelques arpents de vigne…
Quelques rares indiens à mobylette.
Puis la prairie herbe haute et grasse. Des moutons, des vaches prospères.
Puis la vigne haute sur ses ceps, à perte de vue.
Perroquets nains verdâtresur et braillards et pas de mer : nous ne sommes donc pas dans l’Esterel..
Traversée de Cafayate. Sans joie.
Arrivée à l’hôtel-bodega, luxe tranquille.
Tout est raffiné. chambres spacieuses avec terrasse. Jardin, piscine, jasmins odorants, fontaine, vigne.
Belle récompense après près de … 12h de route.
Très bon dîner.
Un crapaud veille devant notre porte. Bonne nuit.
Jour 12 – mercredi 26 octobre
Pris le temps de profiter de notre wine ressort.
Check out a 12h. vacancesur
A plus
EPISODE 3 : Jour 12 – mercredi 26 octobre –
Cafayate – Belen
Avons renoncé à voir la Quebrada de Las Conchas pour faire un tour dans le resort et dans les vignes alentour.
Canaux d’irrigation, cyclistes intrépides pédalant dur sur les routes sablonneuses par déjà 30*C à 10 am…
Récupéré nos compagnons qui eux n’ont rien zappé.
Nous quittons les Calchaquies.
Cap sur les ruines de Quilmes. A ne pas manquer. Un vent à décorner les boeufs, sable dans tous les interstices… Magnifique.
Partout le drapeau des communautés indiennes.
Déjeuner à Amaicha del Valle chez Terra Mama.. feuilleté Holà et Les Inrockuptibles argentins. Toujours aussi nulle en “People”…
Ces poulets à la plancha et papines (petites pommes de terre) Don du ciel !
Des chevaux, de l’OMBRE !!
Traversé l’Abra del infernillo (cactus le retour)
Puis descente vers Tafi del Valle, son lac, ses vaches, ses moutons, son herbe grasse et ses feuillus…. Aurions peut-être dû rebrousser chemin mais continuons la R307.
Montero : camions à 3 remorques débordant de cannes à sucre. Trafic dense. piste poussière, soleil de face…
Forêt vierges et … piste qui grimpe
Panorama magnifique et dénivelés incroyables. On s’entraîne pour le Dakar sur la R65.
Et ce n’est pas fini.
Il fait nuit depuis 3 bonnes heures. Chevaux et vaches sur la route. Aux abords des hameaux des piétons, des gens prenant l’air.
Ciel magnifique.
Après Andalgala la R46 plus clémente
En tout 280 kms de piste. 12 heures de route depuis Cafayate. Sportif. Sur aucun guide …
Pas mécontents d’arriver à l’hôtel ☺
Episode 4 :
Jeudi 27 octobre – Belen – Villa Union
Hôtel Belen à Belen tout décati… il a dû avoir son heure de gloire avec ses frises “précolombiennes”. Maintenant il fait plutôt motel.
Y avons mangé des empanadas qui m’ont rendue malade comme un chien. Premier lit d’1m60 apres tous ces super-king size.
Même place du village qu’ailleurs carrée traversée d’allées diagonales, arbres, oiseaux, même indolence…
Mangé à Chicelito…riz blanc à profusion. La ville est suffisamment prospère pour que les habitants aillent au restaurant. A la télévision faits divers : Bcp de violences de genre.
Visité l’ancienne mine et son téléphérique de 37 km du temps de sa splendeur.
Route toute droite…
Organisé nos escapades à Villa Union.
Pas diné aïe aïe aie…gros dodo
Vendredi 28 octobre –
Ichigalasto & Talampaya
Partis à l’aube.
Ichigalasto
Arrivés pile poil à 8h45 pour prendre notre place dans la caravane de voitures (ici qd un truc est tout près c’est à 120km…)
Très étonnant, très différent des quebradas de Purmamarca : couleurs plus douces, reliefs moins escarpés. Arrêts explicatifs. Trias, tectonique des plaques, minerais, alluvions, érosion, vents, pluies violentes. Et ces rochers en forme de, de ou de…
Paradis des paléontologues et autrefois des dinosaures apparemment…
Talampaya
En minibus cette fois.
Type Westerns et très grands canyons. Rouges. On n’a pas vu John Wayne.
Caroubiers, arbres nourriciers.
Pause café et vin ressemblant à s’y méprendre à du Frontignan…
Café et noix. sympa.
Journée faune : vigognes, renards gris, maras (des bois ah ah ah), condors.. Nous avons coché toutes les cases sauf “puma”. Ça c’est la nuit. à l’affût… Pas ce soir
Samedi 29 octobre – Laguna Brava
Si vous ne devrez voir qu’une seule chose dans le Nordoeste. Pas une seconde d’hésitation! demandez Etgordo à l’agence Ds
Uno. dsunoviajes@gmail.com. Il vous emmenera en 4×4 au pays des merveilles. Ne rechignez pas sur le prix 83€ par personne. Même pas cher pour ce que c’est : 9 heures de surprise en surprise.
Lessive. Enfin l’air est sec. Les ménagères exultent : le linge sèche…😉
Dimanche 30 octobre – sur la route de Mendoza
Episode 5
Dimanche 30 octobre Villa Union – Mendoza
Duster couvert de poussière
La R46 bitumée (si!) c’ est parti pour près de 400kms de ligne droite dans un quasi-désert ponctué de baden (baden : ouvrage destiné à préserver la route de l’eau des rios-oueds). La route épouse le lit de dizaine de rios -actuellement à sec – et se mue en une succession serrée de montagnes russes peu élevées…).
Vignobles. Zappé les bodegas.
RAS. Pris conscience une fois de plus des immensitésur argentines.
Pas vu l’Aconcagua : aurions dû prendre un guide… Mais nos vieux os rechignent…donc
Mendoza = Farniente.
Pas vu autant d’arbres depuis Iguazu.
Ville parfaite pour un break. Belles places, belles avenues, ni vent ni poussière..
Lundi 31 octobre – Mendoza
Ville vraiment agréable. Farniente on vous dit.
Tour au marché et au Carrefour local.
Nuit dans un bus CATA. 12h jusqu’à Neuquen.
Confort de ouf ! (Trop) bien nourris.
Vu un petit film d’horreur sur ma télévision (halloween oblige).
Road movies : arrêts nocturnes dans des villes inconnues et blafardes. Des ombres montent. D’autres descendent.
Mardi 1er novembre
7:30 am arrivée à Neuquen – gare routière.
Programme : y passer plus de 3h.
Abandonnons nos priviléges “executive” et sautons dans un autre bus pour Barriloche. N’aurons passé que 20mn à la gare routière. La dernière heure de descente sur Barriloche est splendidissime.
Montée sur le Carroll Campanario. Boudé le téléphérique. 35 mn de montée un peu ardue après tous ces jours de sédentarité automobile. En haut panorama à couper le souffle. Une des 7 plus belles vues du monde se dice.
Bon à savoir : votre carte rechargeable de transport achetée à Buenos Aires est aussi valable en Patagonie…😉
Mercredi 2 novembre – Jour des morts
Barriloche – Valle Angostura
Balade au bord du lac dans une forêt d’arrayanes, de pins du Chili etc.
La pluie nous talonne et nous rattrape. Le bleu du lac devient gris anthracite, les montagnes s’effacent drapées de nuages…
Pluie battante de chez battante…
Hôtel TRÈS agréable et cosy. Du coup nous en avons profité et y avons même très bien dîné…
Vive La Posada !
Jeudi 3 novembre
Villa La Angostura – St Martin Los Andes
Il a arrêté de pleuvoir au matin. Petit déjeuner avec vue.
La route des 7 lacs est encantada.. partout de quelque côté qu’on se tourne.
Arrivée à la casa d’eugenia, type chambre d’hôtes très sympa.
Nous sommes à équidistance de Paris et de Tokyo (environ 12 mille kms…)
Le vent très violent nous oblige à renoncer à toute promenade à pied. Fort risque de chutes d’arbres..
Une ligne haute tension à plongé les commerces et les foyers dans l’obscurité de midi à 18h.
Saut de puce en voiture de mirador en mirador. Magnifique! vraiment.
Ce soir le vent redouble. Notre hôte nous explique que les vents ont redoublé ces dernières années, que les pluies se sont dramatiquement raréfiées. Les plus hautes températures atteignent maintenant 42*C versus 26*C il y a encore 5 ans.
De magnifiques genêts prolifèrent le long des routes. Dans les vallées la première herbe printanière est drue et décidée. Nous ne faisons que passer…
Vendredi 4 novembre –
Retour à San Carlos de Barriloche
Déjà 3 semaines que nous explorons ce pays.
Pas la moindre déception.
Profitons de notre dernière semaine ici.
Le tempseudo se lève. Retour à Barriloche
Le hôtel nous a surclassés : 5 étoiles vue sur le lac…. Un chocolat sur l’oreiller… mmmmm
Avons filé sur le Cerro Tronero (la montagne qui gronde). glaciers suspendus, moraines, cascades.. Bon de toute façon c’est Indescriptible… 100 kms de pistes parce que ça le vaut bien!!
Au retour traversé les faubourgs misérables, taudis et bidonvilles, circulation du vendredi soir… ici pas de priorité… big bazar. Plus les chiens. chiens errants argentins.
Dîner près d’une bruyante famille adepte du culte de l’enfant roi..rois et capricieux
DODO sans demander notre reste… Le chocolat était bon, Merci!
Samedi 5 novembre – jour 23
Vol Barriloche – El Calafate puis El Chalten
Episode 6
Donc samedi 5 novembré jour 23
Vol Barriloche – El Calafate puis voiture jusqu’à El Chalten
Au revoir San Carlos de Barriloche. Il paraît que si on mange les baies rouges de Patagonie,(myrtilles, airelles, prunelles?) on revient un jour…mangé plein ☺
Petits aéroports tranquilles… Bien entretenu, service impeccable, sourires…On atterrit dans un salon.
Récupéré Maud et David arrivant eux de Buenos Aires.
El Calafate : 22 000 habitants. ressemble à une ville de 5000 âmes. Bon déjeuner atypique de crêpes et … baies rouges…
Et la R40…1 virage tout les 50 kms. steppe aride. Quelques guanacos. Sur 100 km on longe les eaux bleu lagon du lac Argentino.
El Chalten. 371 habitants + 50 Français…
Il neige. Il vente. On pourrait être n’importe où. Ailleurs. De confiance on s’inscrit pour la marche d’approche du Cerro Fitz Roy.
Dimanche 6 novembre
Bus à 8h. vent sérieux et nuages.
Marcherons de 9h à 19h sous un soleil éclatant. Indescriptible. Ce jour restera gravé dans nos mémoires. Forêt, vue, vue vue.
Diverticule vers le lac glaciaire au pied du mythique Fitz Roy. Aucun vent. conditions idéales. Pourtant les plus aguerris monterons en 1h30. Pour moi le tarif sera 2h30😡
Cela dit, nous faisons sérieusement augmenter la moyenne d’âge…
Douche, lessive. Bières et réconfortant bife de lomo. Fallait bien ça…
Lundi 7 novembre
Randonnée à cheval à El Chalten
Retour à El Calafate
Randonnée pour nous quatre. Chevaux placides et bien dressés. Connaisent le chemin… Le mien est trop vieux pour galoper. Ça me va bien… Forêt, prairie, condors, brebis et jeunes agneaux.. Encore un moment inoubliable.. Deux heures à chevauchée, équipés de nos protège-jambes en cuir. Deux gauchos. Très pro, très sympas. Ces deux là ont le job qu’ils ont choisi. Au plus près de la nature, une maison de rondins et les touristes du jour. En pleine nature, avec un chauffe eau solaire et un poêle à bois sur lequel chauffe l’eau du maté.
Emprunté (pedibus) un pont de singe en plein vent de travers… Ça tangue sans qu’on ait besoin de toucher l’eau maigre mais tumultueuse du Rio …
Après notre traditionnelle soupe de potiron, nous prenons la route pour El Cafayate. Monotone mais superbe. Un troupeau de chevaux traversé la route mené par deux gauchos. Hôtel avec vue, au bout du monde.
Navette pour la ville. Parmi des dizaines de magasins, deux offrent des articles de qualité.
On se lâche…
Assado d’agneau un peu gras. Retour en taxi. Il paraît que je ressemblais à sa sainte femme de mère. Du coup nous l’avons grugé de 50 pesos… oú va se nicher l’inconscient ? Dodo
Mardi 8 novembre Glaciers upsalla and spangueri.
Deux catamarans soit 700 personnes et nous et nous et nous à l’assaut du bleu des glaciers… Nous deux à la proue. A l’affût. Vent glacial. Le visage pique, crème ou pas… teint de boucaniers. On le sait: la nature aura toujours le dessus sur l’homme et ses inventions… 6 heures de navigation..
Demain on s’offre une ultime et intime visite privada…
Attirés comme par un aimant à la Casa del Gaucho Argentino… couteau à lame épaisse, cuir, bérets, pantalons ou ceinture, nous voici parés… avons délaissé fouets et lassos aux 3 boules. Trop tard pour changer de vie… ou de nature…
Avons cherché et retrouvé notre taxi et règlé nos dettes…
Frugal repas à l’hôtel.. Après une crêpe dans l’après-midi. grosse et bonne, chez Viva Pepa 😈
À 22h les touristes l’ayant délaissée, nous avons la salle à manger pour nous toutous seuls. Luxe !
Mercredi 9 novembre
La nuit dernière D.Trump à remporté haut la main les présidentielles américaines. Tristes.
Allons présenter nos hommages respecteux au glacier Perito Moreno. 60 m émergés…. assis au fond du lac (ici 400 m de profondeur), 5 fois la superficie est la ville de Buenos Aires.) Arpentons les 3 chemins de planches qui lui font face. Impossible de détériorer la nature… Mais on s’en met plein les mirettes…
Heureux d’avoir revêtu nos 4 épaisseurque de vêtements thermiques. Heu-reux tout court.
Transfert à l’aéroport
Décollage pour Buenos Aires sur la rive du Lago Argentino turquoise.
Ici les avions décollent fréquemment en avance. Peu de trafic, optimisation. Ne jamais arriver en retard… Vous risqueriez de voir l’avion s’envoler…
Avions besoin de 2 taxis pour la même destination. 1 seul à mis son compteur en marche. Système D…
Jeudi 10 novembre – Journée en famille à La Plata
Calme et très sympa. Très chaleureux.
Visite du musée d’histoire naturelle. Fais connaissance avec les animaux autochtones. Des bactéries à nos jours en passant par dinosaures…
Avons coché 2 fois la case “puma”..empaillé et squelettique…
Bon OK, ça ne compte pas…
Promenade dans le parc et à l’université. Au soleil, La Plata, c’est sympa…
REt out a BA. Bouclons la boucle À La Canaña de Lila… LEurope viande est toujours à tomber.
Vendredi 11 novembre
Petit déjeuner un Café Tortoni.. Mythique lointain cousin du Café de Flore.
Promenade dans BA. Taxi pour l’aéroport international.. Séparation. Coeur lourd, très lourd…
NostaLatina, voyagiste spécialisé. 